#15 — J’ÉTAIS À LA GUERRE ET C’ÉTAIT TRÈS VIVANT, PAR PAULINE PICOT

J’ÉTAIS À LA GUERRE ET C’ÉTAIT TRÈS VIVANT, ou POURQUOI JE LIS ‘À L’OUEST RIEN DE NOUVEAU’ d’ERICH MARIA REMARQUE
PAR PAULINE PICOT

RÉFÉRENCE | LFS024 | ISBN | 979-1096602155
SORTIE | NOVEMBRE 2024
PRIX DE VENTE | 10 EUROS | 100 PAGES
GENRE | ESSAI POÉTIQUE VISCÉRAL





©Pauline Picot 2024

Confrontant performance poétique, éloge littéraire et adresse interactive, cet hommage au classique A l’ouest rien de nouveau déborde de la joie pure et incontrôlée du soldat recherchant la vie plutôt que la mort sur le champ de bataille ou dans les bois, il bouillonne d’une urgence d’aujourd’hui et d’une angoisse existentielle propre à chaque instant de l’Histoire, dépassant le récit de guerre et ses visions cinématographiques. Se fondant sur le principe de la tranchée répandu lors de la Première Guerre mondiale, cadre du célèbre roman qu’elle découvre un jour abandonné dans une rue, Pauline Picot scinde son texte en deux, l’hommage au livre d’Erich Maria Remarque d’un côté de la page, l’explosion des sensations, émotions, impressions, douleurs et revanches, de l’autre. C’est un maelström et c’est un feu d’artifice, sous la forme du bouquet, toujours tendu au lecteur d’une main amie, tantôt timide et tantôt résolue.